Publiziert von: Verena Salvisberg
Bereitgestellt: 25.06.2025
6. Juni 2025 am Sulgenauweg in Bern
Jean-Eric Bertholet,
Bei seiner letzten Sitzung vom 6. Juni 2025 in Bern hat sich der Vorstand intensiv mit dem Bericht der EKS zum «Handlungsfeld Bildung und Berufe» (s. auch die EKS-Synode vom 15.-17.6. in St. Gallen) auseinandergesetzt.
Martin Hauser und Hansjakob Schibler haben über ihre Kontakte mit den 5 Theologiefakultäten der Schweiz (und mit den zwei theologischen «Hochschulen») berichtet. Auf ihr Mail vom 24. März hatten ca. 70 Pfarrpersonen geantwortet, die am Austausch mit TheologiestudentInnen an der Uni interessiert sind. Das Projekt geht weiter, im Gespräch mit den Theologiefakultäten, und hat schon zu interessanten, fruchtbaren Begegnungen geführt.
Der Vorstand diskutiert intensiv verschiedene Perspektiven für die Zukunft verschiedener Ämter, und ebenso was eigentlich bei der universitären Ausbildung der PfarrerInnen wesentlich ist. Zur Sprache kommen auch die grossen Unterschiede zwischen Welschland und Deutschschweiz, zwischen Einzel- (oder Land-)Pfarramt, und Stadtpfarramt. Der wirtschaftliche Druck, wie auch der mangelnde Nachwuchs, sollte zu neuen Formen des Kirchendienstes führen. Dabei sind die Meinungen innerhalb des Vorstands sehr unterschiedlich, ein Thema, das uns noch lange beschäftigen wird und auch bei der nächsten Tagung im Herbst 2026 zur Sprache kommen soll.
Schön wäre es, wenn jüngere KollegInnen ihre Perspektiven in den Vorstand bringen (und auch zum Ersatz und zur Verjüngung des Vorstands beitragen) würden… Anlass zu spannenden Diskussionen und interessanten Einblicken in die verschiedenen Landesteilen.
Lors de sa dernière séance du 6 juin 2025 à Berne, le comité a intensément discuté le rapport final du champ d’action «Formations et Professions» de l’EERS (cf. Aussi le synode de l’EERS du 15 au 17 juin à Saint-Gall).
Martin Hauser et Hansjakob Schibler ont décrit leurs contacts avec les 5 facultés de théologie et les deux «hautes écoles de théologie ». Ils ont obtenu une septantaine de réponses à leur courriel du 24 mars provenants de pasteur-e-s intéressé-e-s à un échange à l’Université avec des étudiant-e-s de théologie. Ce projet poursuit son cours en collaboration avec les facultés de théologie et a déjà mené à de fertiles et intéressantes rencontres.
Le comité a discuté intensément différentes perspectives pour l’avenir de différents ministères, portant son regard aussi sur ce qui est essentiel dans la formation universitaire des pasteur-e-s. Les grandes différences entre la Suisse romande et la Suisse allemande font aussi l’objet de nos échanges, tout comme les différences entre ville et campagne ou que l’on exerce son ministère seul ou en équipe. La pression économique et le manque de relève devraient mener à de nouvelles formes de ministères ou de profession au service de l’Eglise, encore que les opinions à ce sujet soient très diverses au sein du comité. Voilà un thème qui va nous occuper encore longtemps et auquel nos prochaines assises d’automne 2026 seront aussi consacrées.
Le comité se réjouirait de partager à ce sujet avec de plus jeunes collègues qui pourraient ainsi apporter leurs perspectives et aussi renouveler et rajeunir le comité… ce serait l’occasion de discussions passionnantes et offrirait aux nouveaux un aperçu intéressant sur les différents contextes de notre pays.
Martin Hauser und Hansjakob Schibler haben über ihre Kontakte mit den 5 Theologiefakultäten der Schweiz (und mit den zwei theologischen «Hochschulen») berichtet. Auf ihr Mail vom 24. März hatten ca. 70 Pfarrpersonen geantwortet, die am Austausch mit TheologiestudentInnen an der Uni interessiert sind. Das Projekt geht weiter, im Gespräch mit den Theologiefakultäten, und hat schon zu interessanten, fruchtbaren Begegnungen geführt.
Der Vorstand diskutiert intensiv verschiedene Perspektiven für die Zukunft verschiedener Ämter, und ebenso was eigentlich bei der universitären Ausbildung der PfarrerInnen wesentlich ist. Zur Sprache kommen auch die grossen Unterschiede zwischen Welschland und Deutschschweiz, zwischen Einzel- (oder Land-)Pfarramt, und Stadtpfarramt. Der wirtschaftliche Druck, wie auch der mangelnde Nachwuchs, sollte zu neuen Formen des Kirchendienstes führen. Dabei sind die Meinungen innerhalb des Vorstands sehr unterschiedlich, ein Thema, das uns noch lange beschäftigen wird und auch bei der nächsten Tagung im Herbst 2026 zur Sprache kommen soll.
Schön wäre es, wenn jüngere KollegInnen ihre Perspektiven in den Vorstand bringen (und auch zum Ersatz und zur Verjüngung des Vorstands beitragen) würden… Anlass zu spannenden Diskussionen und interessanten Einblicken in die verschiedenen Landesteilen.
Lors de sa dernière séance du 6 juin 2025 à Berne, le comité a intensément discuté le rapport final du champ d’action «Formations et Professions» de l’EERS (cf. Aussi le synode de l’EERS du 15 au 17 juin à Saint-Gall).
Martin Hauser et Hansjakob Schibler ont décrit leurs contacts avec les 5 facultés de théologie et les deux «hautes écoles de théologie ». Ils ont obtenu une septantaine de réponses à leur courriel du 24 mars provenants de pasteur-e-s intéressé-e-s à un échange à l’Université avec des étudiant-e-s de théologie. Ce projet poursuit son cours en collaboration avec les facultés de théologie et a déjà mené à de fertiles et intéressantes rencontres.
Le comité a discuté intensément différentes perspectives pour l’avenir de différents ministères, portant son regard aussi sur ce qui est essentiel dans la formation universitaire des pasteur-e-s. Les grandes différences entre la Suisse romande et la Suisse allemande font aussi l’objet de nos échanges, tout comme les différences entre ville et campagne ou que l’on exerce son ministère seul ou en équipe. La pression économique et le manque de relève devraient mener à de nouvelles formes de ministères ou de profession au service de l’Eglise, encore que les opinions à ce sujet soient très diverses au sein du comité. Voilà un thème qui va nous occuper encore longtemps et auquel nos prochaines assises d’automne 2026 seront aussi consacrées.
Le comité se réjouirait de partager à ce sujet avec de plus jeunes collègues qui pourraient ainsi apporter leurs perspectives et aussi renouveler et rajeunir le comité… ce serait l’occasion de discussions passionnantes et offrirait aux nouveaux un aperçu intéressant sur les différents contextes de notre pays.